Il n'y a pas que moi qui ne sais pas lire les miroirs !
Il n'y a pas que moi qui ne sais pas lire les miroirs !
Dans une émission sur Direct 8 "Bien-être", avec la charmante et tonifiante Charlotte Savreux.
Il était question de surpoids et d'obésité, de quelques réponses.
L'un de ses invités parlait de mastication : on peut perdre selon lui plusieurs centimètres de tour de taille rien qu'en mâchant mieux ses aliments. Beaucoup de personnes en surpoids sont en réalité des colopathes qui s'ignorent.
Un autre parlait du sommeil : dormir suffisamment permet à une hormone très intéressante, la leptine, d'augmenter ses quantités. Or la leptine envoie au cerveau l'info sur la quantité des réserves de graisses, ce qui permet au cerveau, s'il décode correctement lesdites info, d'envoyer des signaux de satiété au corps et de faire baisser l'appétit jusqu'à ce que les réserves de graisses soient devenues "normales".
Problème : le cerveau des obèses semblent ne pas savoir lire cette info ; il croit que le corps n'est pas débordé par son gras et il continue à ordonner de manger, manger, manger...
Je ne m'étonne plus du tout d'avoir réussi à rester quatre ans sans me rendre compte que la catastrophe était encore plus catastrophique que ce que je sentais, avec un cerveau analphabète de leptine !
Il était question de surpoids et d'obésité, de quelques réponses.
L'un de ses invités parlait de mastication : on peut perdre selon lui plusieurs centimètres de tour de taille rien qu'en mâchant mieux ses aliments. Beaucoup de personnes en surpoids sont en réalité des colopathes qui s'ignorent.
Un autre parlait du sommeil : dormir suffisamment permet à une hormone très intéressante, la leptine, d'augmenter ses quantités. Or la leptine envoie au cerveau l'info sur la quantité des réserves de graisses, ce qui permet au cerveau, s'il décode correctement lesdites info, d'envoyer des signaux de satiété au corps et de faire baisser l'appétit jusqu'à ce que les réserves de graisses soient devenues "normales".
Problème : le cerveau des obèses semblent ne pas savoir lire cette info ; il croit que le corps n'est pas débordé par son gras et il continue à ordonner de manger, manger, manger...
Je ne m'étonne plus du tout d'avoir réussi à rester quatre ans sans me rendre compte que la catastrophe était encore plus catastrophique que ce que je sentais, avec un cerveau analphabète de leptine !
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